Les sociétés d’autoroutes ne sont même pas obligées à l’entretien du réseau.
C’est peu dire que le rapport sénatorial sur les autoroutes était attendu. Car quinze ans après la privatisation des autoroutes, voulue par le gouvernement Villepin, la colère des usagers demeure, face à l’enrichissement phénoménal des groupes Vinci, Eiffage et Abertis.